Elle a quitté le monde de l'hôtellerie de luxe pour élever des bisons

Chaque mois, Terre&Nature met la relève à l'honneur. Dans la campagne genevoise, Kim Girardet est à la tête des Plaines de Rosière, à Collex-Bossy, une exploitation qui produit de la viande de bison.
30 décembre 2024 Véronique Curchod
En début d'année, Kim Girardet a repris le domaine des Plaines de Rosière, spécialisé dans l'élevage de bisons. «Il y a une continuité, mais je vais explorer peu à peu ce qui pourrait être développé», relève la Genevoise, motivée par le côté entrepreneurial de l'agriculture.
© Véronique Curchod
En début d'année, Kim Girardet a repris le domaine des Plaines de Rosière, spécialisé dans l'élevage de bisons. «Il y a une continuité, mais je vais explorer peu à peu ce qui pourrait être développé», relève la Genevoise, motivée par le côté entrepreneurial de l'agriculture.
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En début d'année, Kim Girardet a repris le domaine des Plaines de Rosière, spécialisé dans l'élevage de bisons. «Il y a une continuité, mais je vais explorer peu à peu ce qui pourrait être développé», relève la Genevoise, motivée par le côté entrepreneurial de l'agriculture.
© Véronique Curchod
En début d'année, Kim Girardet a repris le domaine des Plaines de Rosière, spécialisé dans l'élevage de bisons. «Il y a une continuité, mais je vais explorer peu à peu ce qui pourrait être développé», relève la Genevoise, motivée par le côté entrepreneurial de l'agriculture.
© Véronique Curchod

Redonner du foin aux bisons, surveiller les divers troupeaux, vérifier les clôtures ou planifier avec un grossiste la prochaine livraison de viande: toute la journée, Kim Girardet s’affaire ici et là, gérant ainsi les Plaines de Rosière, à Collex-Bossy (GE). Situé à une quinzaine de minutes du centre-ville de Genève, le domaine est une oasis de verdure entourée de forêt. Pionnier en Romandie, le père de Kim, Laurent, a été le premier agriculteur à élever ces bovidés, important des sujets des États-Unis et du Canada en 1990.

Si sa fille unique a repris aujourd’hui l’exploitation, cela ne coulait pourtant pas de source, bien que la jeune femme ait grandi entourée de ces animaux sauvages. «Je ne lui ai jamais mis la pression, souligne son père. J’ai vu trop de collègues qui ne s’épanouissaient pas dans ce métier, car ils avaient été contraints par leurs parents.»

Viande de qualité

La jeune femme utilise également de nombreuses compétences acquises lors de ses études, que cela soit lors des relations avec la clientèle, de la gestion administrative ou du contenu des réseaux sociaux mettant en valeur les produits de la ferme. Si l’exploitation compte plusieurs axes – pension pour chevaux et élevage de wapitis –, les bisons tiennent une place à part dans le cœur de Kim Girardet.

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