Entre deux vêlages, le temps de la formation
Il y a de l’agitation dans la grande stabulation qui jouxte la ferme d’Antoine Freiburghaus: sur la couche de paille fraîche, les veaux s’en donnent à cœur joie. Les vêlages viennent de se terminer, onze jeunes animaux sont venus garnir le troupeau de black angus du Bellerin.
«J’avais prévu une quinzaine de veaux, mais certaines vaches n’ont pas porté, et un animal est mort à la naissance», résume l’agriculteur, qui entend à terme porter le nombre de vêlages à 18 ou 20 par hiver.
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