Les appellations géographiques protégées, ça rapporte?
Les vignerons vaudois se creusent les méninges pour rendre plus lisibles leurs appellations d’origine contrôlée. Présenté début février, le projet de réforme des AOC ne fait pas l’unanimité.
Derrière les désaccords, on devine un enjeu de taille: sur les marchés national et international, la protection géographique reste un argument de poids, synonyme de plus-value pour les producteurs et de durabilité du tissu agricole. La Suisse compte désormais 42 produits estampillés AOP ou IGP. À elles seules, les appellations «emmental», «gruyère», «raclette du Valais», «sbrinz» et «vacherin fribourgeois» contribuent à faire vivre 5200 exploitations agricoles.
+ D’infos Vous avez une question en lien avec la thématique financière? Écrivez-nous à redaction@terrenature.ch
Vous voulez lire la suite de cet article ?
Profitez d'un accès illimité à toutes nos publications en format numérique

Les bonnes raisons de s'abonner
- · Accès à l'ensemble de nos contenus en ligne
- · Accès à des articles et des podcasts exclusifs
- · Accès à toutes nos éditions (e-paper)
- · Accès à nos hors-séries et suppléments (e-paper)
- · Accès à des avantages réservés à nos abonnés
Déjà abonné·e ? → Se connecter