Les appellations géographiques protégées, ça rapporte?

Gérer une ferme, c'est également aller au-devant de nombreux 
défis financiers. Chaque mois, Terre&Nature aborde une question 
en lien avec cette thématique.
9 avril 2025 David Genillard
© Illustration Marcel G.

Les vignerons vaudois se creusent les méninges pour rendre plus lisibles leurs appellations d’origine contrôlée. Présenté début février, le projet de réforme des AOC ne fait pas l’unanimité.

Derrière les désaccords, on devine un enjeu de taille: sur les marchés national et international, la protection géographique reste un argument de poids, synonyme de plus-value pour les producteurs et de durabilité du tissu agricole. La Suisse compte désormais 42 produits estampillés AOP ou IGP. À elles seules, les appellations «emmental», «gruyère», «raclette du Valais», «sbrinz» et «vacherin fribourgeois» contribuent à faire vivre 5200 exploitations agricoles.

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