Longtemps snobée, l'électroculture reconquiert les champs romands
Depuis quelques mois, de curieux reflets orangés brillent entre la bourrache, le romarin et les choux du jardin comestible de Thônex (GE). Sur cette parcelle publique dédiée à la cueillette en libre-service, l’équipe des espaces verts mène une expérience inédite. Plusieurs objets en cuivre ont été disposés selon les principes de l’électroculture.
Née au XVIIIe siècle, cette pratique vise à favoriser la croissance des plantes en amplifiant les champs électromagnétiques, grâce à ce métal conducteur. «Cela permet de cultiver la terre avec peu d’intrants, ce qui est idéal, car nous n’utilisons plus de pesticides en extérieur», exposent les responsables Johan Didion et Eddy Philippe.
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