80 ans d’excellence pour l’inventeur du sécateur moderne
Tout commence aux Geneveys-sur-Coffrane, en Suisse, où Félix Flisch, un ingénieur visionnaire, conçoit son premier sécateur révolutionnaire. Son objectif? Offrir aux professionnels et amateurs un outil aussi robuste que précis, pensé pour traverser les générations.
En 1948, FELCO lance le FELCO 2, devenu depuis une véritable icône mondiale de la taille. Sa qualité de coupe exceptionnelle, sa conception réparable et son ergonomie en font un outil incontournable, transmis de génération en génération.
Un héritage d’innovation et d’engagement durable
L’ADN de FELCO repose sur une quête permanente d’innovation. Dès les années 1950, la marque développe des coupe-câbles brevetés, puis introduit la poignée rotative dans les années 1960 pour réduire l’effort de coupe. Aujourd’hui, FELCO continue de repousser les limites en intégrant des technologies de pointe, comme les revêtements de lame F-GOLD et F-TECH ou le système anticoupure Cut-Shield présenté sur le sécateur électrique FELCO 834.
Mais l’innovation ne s’arrête pas aux performances techniques. Pionnière en matière de durabilité, FELCO conçoit des outils réparables à l’infini, réduisant ainsi les déchets et la consommation de ressources. L’usine fonctionne à 100% avec des énergies renouvelables, et chaque composant est fabriqué avec des matériaux recyclés ou issus de sources responsables.
Une aventure humaine et une passion intacte
Derrière chaque sécateur FELCO, il y a des hommes et des femmes engagés. Depuis vingt-cinq ans, l’entreprise collabore avec la Fondation Alfaset, permettant à des personnes en situation de handicap de contribuer à la fabrication de ces outils d’exception. Une démarche qui illustre la philosophie de FELCO: conjuguer performance, responsabilité et inclusion sociale.
Aujourd’hui, alors que FELCO souffle ses 80 bougies, l’entreprise reste fidèle à sa mission: faire la différence en fournissant des outils dont les performances sont inspirantes et qui sont fabriqués de manière responsable.
