Adepte de la discrétion, le pic mar a fait des vieilles chênaies son bastion

Le picidé au sommet du crâne flamboyant connaît depuis le tournant du millénaire une dynamique positive, entre autres grâce aux mesures de conservation et à la bonne collaboration entre les acteurs concernés.
22 septembre 2024 Chloé Pang
Le pic mar ne tambourine pas ou très peu et son bec est trop faible pour extraire des larves d'arbres sains.
© Marcel Burkhardt

Dans la famille des picidés, on demande le pic mar. Il s’agit d’un des membres de la catégorie «pic bigarré noir, blanc et rouge», au même titre que le familier épeiche, l’épeichette et celui à dos blanc.

Il n’est pas le plus rare de la bande, le titre revenant à l’énigmatique pic à dos blanc, mais il n’en est pas moins discret et gagne à être mieux connu. On le reconnaît à ses flancs striés, au-dessus de sa tête rouge chez les deux sexes, et à l’absence de motifs sur la face.

+ d’infos Dans le cadre d’un partenariat, Terre&Nature a proposé à la Station ornithologique suisse, qui fête ses 100 ans cette année, 
de mettre en avant une série d’oiseaux indigènes.

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