De son œil expert dépend
la sûreté des habitants d'une vallée valaisanne

En tant qu'observateur des dangers naturels, Jean-Luc Lugon est attentif aux variations du relief alpin. Chutes de pierres et glissements de terrains s'intensifient.
14 mars 2025 Lila Erard
Le quinquagénaire sillonne régulièrement la vallée de Trient, équipé de ses jumelles et de son smartphone. Si l'évolution de la technologie facilite la tâche, l'œil humain reste indispensable. Photo Cédric Raccio
Le quinquagénaire sillonne régulièrement la vallée de Trient, équipé de ses jumelles et de son smartphone. Si l'évolution de la technologie facilite la tâche, l'œil humain reste indispensable. Photo Cédric Raccio
Le quinquagénaire sillonne régulièrement la vallée de Trient, équipé de ses jumelles et de son smartphone. Si l'évolution de la technologie facilite la tâche, l'œil humain reste indispensable. Photo Cédric Raccio
Le quinquagénaire sillonne régulièrement la vallée de Trient, équipé de ses jumelles et de son smartphone. Si l'évolution de la technologie facilite la tâche, l'œil humain reste indispensable. Photo Cédric Raccio
Le quinquagénaire sillonne régulièrement la vallée de Trient, équipé de ses jumelles et de son smartphone. Si l'évolution de la technologie facilite la tâche, l'œil humain reste indispensable. Photo Cédric Raccio
Le quinquagénaire sillonne régulièrement la vallée de Trient, équipé de ses jumelles et de son smartphone. Si l'évolution de la technologie facilite la tâche, l'œil humain reste indispensable. Photo Cédric Raccio

Alors que le soleil illumine le col de la Forclaz (VS), un homme en doudoune bleue regarde le sol recouvert de neige et tape plusieurs fois du pied. «C’est du béton, une vraie croûte. On peut marcher ici sans risque», affirme-t-il en progressant sur le sentier, direction une passerelle en ferraille. «Ici, en revanche, c’est très instable.»

En janvier 2018, plus de 5000 m3 de roche étaient tombés sur la route, coupant la circulation pendant cinquante-trois jours. Si, depuis, des clous métalliques et des filets ont été installés sur la paroi, Jean-Luc Lugon se rend chaque semaine sur place pour surveiller la zone et effectuer des relevés, à pied ou encordé.

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