Arrivés fin 2019, les cinq bovidés polonais de la première cellule de conservation de Suisse se sont bien acclimatés à la forêt vaudoise. Une naissance a déjà eu lieu, une deuxième pourrait suivre ce printemps.
Ils rêvent de voir toutes les espèces d’oiseaux de Suisse, d’Europe ou du monde, consignant chacune de leurs observations: ceux que l’on appelle les cocheurs sont des ornithologues pas tout à fait comme les autres.
Cet hiver, les Suisses sont nombreux à préférer le calme de la nature à la cohue des domaines skiables. Une soudaine affluence qui peut avoir des conséquences pour les animaux vivant en milieu alpin.
Le contenu dédié à l’environnement fleurit sur les plateformes de partage de vidéos et les réseaux sociaux. Des Romands sont aux avant-postes de cette tendance qui vise à alerter, émerveiller et instruire.
La Suisse peut s’enorgueillir de disposer d’un outil sécuritaire de premier ordre: depuis 1945, son bulletin d’avalanches ne cesse de se perfectionner pour limiter les dangers qui guettent les adeptes d’altitude.
Dans le Val-de-Travers (NE), ce conifère âgé de 276 ans et culminant à 58 mètres de haut est le plus grand de son espèce en Suisse. Des mensurations hors normes qui lui valent son titre de président depuis le siècle dernier.
Notre pays a un rôle à jouer dans la réintroduction de l’ibis chauve: il y a 400 ans, cet étonnant oiseau nichait dans les vallées alpines. Il pourrait y revenir grâce à un plan européen et un programme d’élevage.
Alors qu’un projet de parc vient d’être refusé à Sonvilier (BE), de nombreuses associations freinent la construction d’éoliennes dans le pays. Un jugement très attendu du Tribunal fédéral pourrait débloquer la situation.
Il y a tout juste un an, un groupe de scientifiques romands déclarait soutenir le mouvement Extinction Rebellion. Les chercheuses et chercheurs sont toujours plus nombreux à s’engager sur la scène publique.
Deux nids de ce redoutable insecte ont été neutralisés à Genève, alors qu’un autre a été détruit dans le Jura. Les autorités s’activent pour éliminer ce prédateur des abeilles mellifères avant qu’il ne colonise la Suisse.
Les mycologues effectuent depuis cinq ans un travail de fourmi pour mieux déterminer et classifier les milliers d’espèces de champignons du pays. Ils parviennent à les différencier en analysant leurs critères génétiques.
Plutôt discret le reste de l’année, cet oiseau focalise l’attention en début d’automne, lorsqu’il assaille en nuées les vignobles. Mais, à l’observer de plus près, il mérite bien mieux que sa réputation de pilleur.