Profession pêcheur:
le hasard des prises,
la promesse de l'aube

Initié au métier par son père, le Nyonnais Jetmir Osmankaq, 29 ans, travaille comme professionnel sur le Léman depuis 2016.
Nous l'avons suivi une matinée au large.
6 mars 2025 Aurélie Jaquet
Photo Valentin Flauraud.
Photo Valentin Flauraud
Photo Valentin Flauraud
Photo Valentin Flauraud
Photo Valentin Flauraud
Photo Valentin Flauraud
Photo Valentin Flauraud

Au bout du port de Nyon (VD), une fenêtre éclairée se détache dans la nuit opaque. Il n’est que 4h30 du matin, mais la Pêcherie Deli est déjà réveillée. À l’intérieur de sa cabane, Jetmir Osmankaq nous accueille d’une poignée de main franche et la mine fraîche en dépit de l’heure matinale. «Vous prenez un café?» demande le pêcheur de 29 ans alors qu’arrive Rex Maroshi, son cousin et employé.

Comme tous les matins, les deux hommes commencent leur journée bien avant l’aube pour relever les filets qu’ils ont posés la veille au large du Léman. «J’espère que la matinée sera fructueuse. Depuis quelque temps, il n’y a pas grand-chose dans les filets, sans qu’on ne sache vraiment pourquoi. On fait un métier de nature, il y a toujours une part d’incertitudes», relativise Jetmir Osmankaq.

Vous voulez lire la suite de cet article ?

Profitez d'un accès illimité à toutes nos publications en format numérique

→ Nos abonnements

Les bonnes raisons de s'abonner

  • · Accès à l'ensemble de nos contenus en ligne
  • · Accès à des articles et des podcasts exclusifs
  • · Accès à toutes nos éditions (e-paper)
  • · Accès à nos hors-séries et suppléments (e-paper)
  • · Accès à des avantages réservés à nos abonnés

Déjà abonné·e ? → Se connecter

Achetez local sur notre boutique

À lire aussi

Accédez à nos contenus 100% faits maison

La sélection de la rédaction

Restez informés grâce à nos newsletters

Icône Boutique Icône Connexion